Vers une nouvelle géographie du commerce de l’énergie : les cas de l’Australie et du Chili
Troisième partie d’un essai sur les conséquences de l’essor de l’hydrogène comme vecteur énergétique.
Troisième partie d’un essai sur les conséquences de l’essor de l’hydrogène comme vecteur énergétique.
Deuxième partie d’un essai sur les conséquences de l’essor de l’hydrogène comme vecteur énergétique.
Première partie d’un essai sur les conséquences de l’essor de l’hydrogène comme vecteur énergétique.
Wśród krajów posiadających i chętnych do stosowania „broni energetycznej”, czyli wykorzystywanie zasobów energetycznych do osiągnięcia celów polityki zagranicznej, Rosja i arabskie monarchie są raczej znanymi przykładami, ale w tej kategorii nie należy zapomnieć o Stanach Zjednoczonych.
Parmi les pays détenteurs – et volontiers utilisateurs – de l’« arme énergétique », c’est-à-dire de ressources en énergie instrumentalisées à des fins de politique extérieure, la Russie et les monarchies arabes sont des exemples relativement familiers. Il ne faut pourtant pas oublier dans cette catégorie les États-Unis.
Le nucléaire et le charbon font l’objet dans chacun des deux pays d’un consensus transpartisan et quasi-unanime. L’attachement à la souveraineté énergétique se double d’un attachement presque culturel et sentimental à la technique qui l’a rendue possible.