Parmi les pays détenteurs – et volontiers utilisateurs – de l’« arme énergétique », c’est-à-dire de ressources en énergie instrumentalisées à des fins de politique extérieure, la Russie et les monarchies arabes sont des exemples relativement familiers. Il ne faut pourtant pas oublier dans cette catégorie les États-Unis.
L’approche « One Health » n’est pas qu’un concept abstrait ou un slogan : mesures de prévention, rapprochement des corpus normatifs et des organes chargés de les faire respecter et accompagnement des évolutions des pratiques professionnelles peuvent contribuer à améliorer l’état de santé et de l’environnement pour le plus grand nombre et à des coûts supportables.
Même si elles parvenaient à rétablir l’équilibre financier du système de retraite, des réformes paramétriques (âge légal, durée de cotisation, niveau de prélèvements ou montant des pensions) ne suffiraient pas à rassurer les Français sur la couverture de leurs besoins liés au vieillissement. Cette question appelle une réponse systémique qui intégrerait la prise en charge de la dépendance et tiendrait aussi compte des évolutions du marché du travail ainsi que des nouvelles trajectoires de vie.
Le nucléaire et le charbon font l’objet dans chacun des deux pays d’un consensus transpartisan et quasi-unanime. L’attachement à la souveraineté énergétique se double d’un attachement presque culturel et sentimental à la technique qui l’a rendue possible.
La France et les États-Unis sont en concurrence pour construire la première centrale du pays. Mais ce projet, vieux de plusieurs décennies, n’aboutira jamais, estime ce journaliste spécialisé.
In April this year, Polish Prime Minister Donald Tusk published a column in the Financial Times calling for the creation of an Energy Union based on six pillars with thegoal of making energy more competitive and secure in the EU and its neighbourhood. Its most ambitious part would consist in setting up “a single European body charged with buying [Russian] gas.”